BANNIERE2

ACCUEIL

Tour de Belle-Ile-en-Mer à pied en 4 jours (3/4)

Après les 30,5 kilomètres de la deuxième étape du tour de Belle-Ile-en-Mer à pied, on pourrait penser que cette troisième étape qui mène de Bangor à Locmaria en 23 kilomètres est plus reposante...

Erreur ! Car les montées et les descentes s'enchainent sur ce tronçon, et c'est donc un parcours sportif qui vous attend ! 

Mais rassurez-vous, rien d'insurmontable toutefois, seulement quelques efforts à fournir... Et je peux vous garantir que la beauté des paysages qui vous attendent tout au long de cette côte sauvage, parsemée de nombreuses et jolies petites criques, est à la hauteur des efforts endurés.

Locmaria, la commune d'arrivée de cette étape, est le point culminant de l'île. Elle abrite une église datant de l'an mil, qui vaut apparemment le détour.

En ce qui nous concerne nous ne l'avons cependant pas visitée lorsque nous avons fait ce parcours en août 2005, où nous étions sans les enfants. Avis aux amateurs donc !

Pour retrouver la toute première étape de ce tour de l'île, c'est ici, et la deuxième étape est par .

 

belle ile etape3 1

Le lac du Plaa de Prat

Niché à 1 656 mètres d'altitude dans le Parc National des Pyrénées, le lac du Plaa de Prat offre un charmant but de randonnée à la découverte des beaux pâturages d'altitude du Val d'Azun, dans les Hautes-Pyrénées.

Cette randonnée en aller/retour démarre au lac d'Estaing (1 163 m), un lac en bordure de route hautement fréquenté en saison estivale. Les berges du lac du Plaa de Prat sont quant à elle beaucoup plus calmes...

Tirée du livre "Pyrénées 2 - Pyrénées Centrales Françaises : Arrens - Seix" de Roger Büdeler, cette rando vraiment sympa et sans difficulté particulière traverse de bien jolis paysages. Si en plus vous aimez les petits lacs d'altitude tranquilles, je ne peux que vous la conseiller vivement !

Pour nous, c'était en août 2014, accompagnés de notre fille de 15 ans et de notre fils hémiplégique de 19 ans.

lac du plaa de prat14

Ci-dessus et les 2 photos ci-dessous : au départ de la randonnée, sur la large piste,
non loin du lac d'Estaing...

Le zoo de la Boissière-du-Doré

logo-EnFranceAussi

Cet article participe au rendez-vous mensuel "En France Aussi", évènement interblogueurs organisé par Sylvie du blog Le coin des voyageurs, qui découvre (ou redécouvre) la richesse et la beauté de la France. 

Chaque mois, elle invite d'autres blogueurs à partager des articles autour d'un thème différent.

Depuis quelques temps, un blogueur est invité à être le leader du mois, et à choisir le thème.

Ce mois-ci, je participe pour la trente-cinquième fois dans le cadre de ce 49ème RDV, dont le thème a été choisi par Mitchka du blog Fisch and Child(ren) "A 15 km de chez moi, il y a...".

♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦  ♦ ♦ ♦ ♦  

A exactement 15,6 km de chez moi, il y a... un zoo ! C'est le zoo de la Boissière-du-Doré, situé en Loire-Atlantique entre Cholet et Nantes, au milieu du vignoble nantais.

Enfant, j'adorais les zoos. C'était pour moi un grand moment d'évasion, l'occasion de voir des animaux qu'alors je ne pouvais voir nulle part ailleurs... Par la suite, j'ai rêvé de pouvoir les voir un jour dans leur milieu naturel, en safari notamment... J'ai alors commencé à voir les zoos d'un autre oeil et à les délaisser, peinée de voir les animaux captifs, prisonniers de cages ou d'enclos si petits... 

Mais au fil des ans les zoos ont pour la plupart évolué, améliorant le bien-être des animaux et oeuvrant pour la sauvegarde des espèces en danger d'extinction. J'ai donc essayé de les voir sous ce jour nouveau, celui de la protection des espèces rares, vulnérables ou menacées...

Fin 2016, j'ai eu la chance immense de voir mon rêve de safari devenir réalité, avec un voyage en Afrique du Sud... Après avoir vu ainsi les animaux dans leur milieu naturel, je pensais bien qu'à mon retour je n'aurais plus jamais envie de mettre un pied dans un zoo ! Mais il n'en est rien, et curieusement c'est même tout le contraire puisque j'ai pris un Pass annuel pour le zoo de la Boissière-du-Doré.

Le village troglodytique de Rochemenier

logo-EnFranceAussi

Cet article participe au rendez-vous mensuel "En France Aussi", évènement interblogueurs organisé par Sylvie du blog Le coin des voyageurs, qui découvre (ou redécouvre) la richesse et la beauté de la France. 

Chaque mois, elle invite d'autres blogueurs à partager des articles autour d'un thème différent.

Depuis quelques temps, un blogueur est invité à être le leader du mois, et à choisir le thème.

Ce mois-ci, je participe pour la trente-quatrième fois dans le cadre de ce 48ème RDV, dont le thème a été choisi par Plume du blog Expériences en famille "Curiosités".

♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦  ♦ ♦ ♦ ♦  

Pour illustrer ce thème, après avoir tout d'abord pensé vous faire découvrir en randonnée les fours à chaux près de chez moi, c'est finalement à la découverte du monde mystérieux et fascinant des troglodytes que je vous emmène.

Dans ma région angevine, en Maine-et-Loire dans les Pays de la Loire, l'univers troglodytique est en effet très présent, tout particulièrement du côté de Saumur. Avec un millier de kilomètres de galeries souterraines, c'est le plus grand réseau troglodytique de France, que l'on retrouve sous diverses formes : maisons et gîtes, zoo, restaurants, champignonnières, caves etc.

On y trouve aussi tout un village : le village de Rochemenier, situé à Louresse-Rochemenier précisément, qui permet de découvrir la vie paysanne souterraine d'autrefois à travers notamment deux anciennes fermes creusées dans le falun, et une chapelle.

Tout comme le tuffeau, dont on trouve de nombreuses maisons sur les bords de Loire, le falun est une roche facile à creuser et c'est dès le moyen âge que les paysans se sont mis à y creuser la cour de leur ferme, puis leur maison d'habitation et les dépendances.

Tour de Belle-Ile-en-Mer à pied en 4 jours (2/4)

La deuxième étape du tour de Belle-Ile-en-Mer à pied mène de Sauzon à Bangor, pour un parcours de 30,5 kilomètres.

Ce deuxième tronçon est le plus long des 4 de ce tour de l'île, dont vous retrouverez le premier jour ici.

Même si c'était pour moi une journée redoutée en raison du nombre important de kilomètres, c'était surtout une étape très attendue. Car du côté de Bangor se trouvent les fameuses aiguilles de Port Coton, immortalisées par Claude Monet.

Mon rêve était non seulement de les voir "en vrai", mais  aussi de pouvoir les admirer au coucher du soleil !

C'est ainsi qu'en août 2005, nous nous sommes fait plaisir en logeant ce soir-là à l'hôtel "Le grand phare" de Goulphar non loin du site, et le soleil étant au rendez-vous, mon rêve s'est transformé en réalité ! Et je peux vous assurer qu'un coucher de soleil sur les aiguilles de Port Coton, c'est un spectacle absolument grandiose et fascinant ! Un moment inoubliable...

tour belle ile en mer jour2 7

Les lavoirs de Pontrieux en 20 photos

logo-EnFranceAussi

Cet article participe au rendez-vous mensuel "En France Aussi", évènement interblogueurs organisé par Sylvie du blog Le coin des voyageurs, qui découvre (ou redécouvre) la richesse et la beauté de la France. 

Chaque mois, elle invite d'autres blogueurs à partager des articles autour d'un thème différent.

Depuis quelques temps, un blogueur est invité à être le leader du mois, et à choisir le thème.

Ce mois-ci, je participe pour la trente-troisième fois dans le cadre de ce 47ème RDV, dont le thème a été choisi par Caroline du blog Family Trip and Play "Au fil de l'eau".

♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦  ♦ ♦ ♦ ♦  

Au temps où les machines à laver n'existaient pas encore, chaque village possédait son lavoir communal. Dans les villes bien sûr on en trouvait plusieurs, comme à Pontrieux"Petite cité de caractère" des Côtes d'Armor, où il y en avait 5... 

Mais la "petite Venise du Trégor", ainsi qu'est surnommée cette commune bretonne, abritait aussi un nombre impressionnant de lavoirs privés : 50 au total !

Grâce à son port, la ville était en effet prospère jadis, et les riches propriétaires possédant de grandes maisons bourgeoises sur les berges du Trieux avaient fait construire leurs propres lavoirs, afin que leur beau linge ne soit pas lavé dans les lavoirs publics et que leurs lavandières ne divulguent pas leurs petites anecdotes familiales...

Après avoir été longtemps laissés à l'abandon après l'apparition des lave-linge, l'association "Nos lavoirs"créée en 1991, a tout mis en oeuvre pour que ces lavoirs datant du XVIIIèm et XIXèm siècle sortent de l'oubli.

Ainsi aujourd'hui, tous les ans de mai à septembre, une promenade en barque d'une vingtaine de minutes au fil du Trieux permet d'admirer les 50 lavoirs restaurés et joliment décorés par leurs propriétaires, et d'en savoir un peu plus sur leur histoire et celle des lavandières...

Car si on peut en apercevoir quelques-uns depuis les rives, c'est assurément de la rivière qu'on peut tous les découvrir et les apprécier au mieux.

Le pic d'Orhy

Situé en Haute-Soule à 2 017 mètres d'altitude à la frontière franco-espagnole, le pic d'Orhy compte parmi les plus hauts sommets du Pays Basque.

La randonnée vers ce sommet mythique au fabuleux panorama à 360° fait partie des incontournables de la région, avec plusieurs points de départ. La plus facile est sans conteste celle qui part du Port de Larrau (1 585 m)ainsi que nous l'avons fait en août 2014 avec notre fille de 15 ans et notre fils hémiplégique de 19 ans.

Si on suit le sentier, bien visible, qui contourne le pic par la gauche, sans essayer de prendre les raccourcis qui montent directement (mais plus dangereusement) au sommet, le sentier ne présente pas de grosse difficulté en dehors d'une petite barre rocheuse à franchir.

Le topo-guide "Vos 30 itinéraires au pays Basque" de Pierre Macia, d'où est tirée cette randonnée, propose une boucle avec un retour à travers les pentes herbeuses, mais nous n'avons pas trouvé de sentier digne de ce nom pour nous engager de ce côté-là. C'est d'ailleurs sans doute pour cette raison que cette descente est recommandée uniquement par temps clair et dégagé... Du coup, comme "Prudence est mère de sûreté", nous avons effectué le retour par le même chemin qu'à l'aller, ainsi que le propose l'office de tourisme Béarn, Pays Basque dans sa fiche de randonnée en téléchargement ici.

Nous sommes ici en territoire de haute montagne, aussi ce parcours est d'ailleurs à entreprendre uniquement par beau temps. En plus des risque encourrus en cas de mauvais temps, ce serait de toutes façons vraiment dommage de ne pas profiter des paysages et du panorama au sommet !

Il faut savoir aussi que ce coin là est extrêmement venteux, même un jour de grand beau temps en été. Voici d'ailleurs ce qu'on peut lire à propos du pic d'Orhy dans le "Guide rando Pays Basque" de Michel Record Casenave : "Du fait de sa position élevée, il reçoit de plein fouet les dépressions atlantiques. Et le vent du nord-est est redoutable sur ses pentes finales". Pour l'avoir expérimenté, je confirme ! Pas facile de photographier les fleurs dans ces conditions...

Les vautours fauves semblent apprécier le coin et vous feront sans doute l'honneur de leur présence. Ils étaient nombreux à tournoyer au-dessus de nos têtes ce jour-là.

J'avais toujours rêvé de partir à l'assaut de ce célèbre pic, et je n'ai pas été déçue.

Si vous allez randonner dans la région, c'est à faire !

 pic d orhyCi-dessus : Départ du sentier... On aperçoit l'Orhy Chipia ainsi que
des postes de chasse qui jalonnent la crête frontière

Bonneval-sur-Arc

bonneval sur arc

 

Se promener dans les ruelles de Bonneval-sur-Arc, c'est un peu comme se promener dans une carte postale...

Ce n'est pas pour rien en effet que ce petit village savoyard, niché à 1 850 mètres d'altitude tout au fond de la vallée de la Maurienne, au pied du célèbre col de l'Iseran (2 770 m), figure parmi les "Plus Beaux Villages de France" !  

 

bonneval sur arc10

 

Oui qu'il fait bon flâner au milieu des magnifiques chalets traditionnels en pierre aux toits de lauze, d'autant plus qu'aucune antenne de télévision, aucune parabole ni aucun fil électrique ne vient troubler le regard. 

Nous sommes ici aux portes du Parc National de la Vanoise où alpages, sommets enneigés et glaciers vous attendent, sans parler de sa faune et de sa flore !

Tour de Belle-Ile-en-Mer à pied en 4 jours (1/4)

Située dans le Morbihan, Belle-Ile-en-Mer est une île dont le doux nom fait rêver.

Joliment surnommée "la Bien Nommée" en 1896 par une poétesse de l'île (Eva Jouan), peinte par Claude Monet, chantée par Laurent Voulzy et adulée par l'actrice Sarah Bernhardt, la plus grande des îles bretonnes (17 kilomètres de long et 9 kilomètres de large) ne manque en effet pas d'atouts pour séduire ses habitants et ses visiteurs : côte sauvage aux falaises escarpées, landes, vallons, dunes, criques abritées et plages de sable fin...

Pour profiter  au mieux de la variété de ces paysages, un sentier côtier de près de 85 kilomètres, le GR340, permet de faire le tour de l'île à pied : c'est de cette façon que nous avons choisie de la découvrir...

A l'époque de notre périple, en août 2005, l'office de tourisme de Belle-Ile-en-Mer proposait un itinéraire en 4 étapes, que l'on retrouve aujourd'hui ici sur le site du Comité Départemental du Tourisme du Morbihan, et découpé ainsi : 

                         ♦ 1ère journée : Le Palais - Sauzon - Les Poulains              23,5 km
                         ♦ 2ème journée : Sauzon - Bangor                                   30,5 km
                         ♦ 3ème journée : Bangor - Locmaria                                 23 km
                         ♦ 4ème journée : Locmaria - Le Palais                              17,3 km

Après avoir pris le bateau à Quiberon, où nous avons laissé notre voiture pour ces 4 jours, et logé une première nuit dans une chambre d'hôte à Le Palais où nous avons débarqué, nous voilà donc partis pour la première étape qui nous entraîne le long de la côte nord de l'île, du port du Palais jusqu'à Sauzon, en passant par la Pointe du Poulain. Cet itinéraire est vraiment magnifique et on en prend plein la vue ! Dommage qu'à l'époque je prenais si peu de photos... Il faut dire aussi que, randonnant habituellement avec les enfants et n'ayant ni l'habitude de parcours aussi longs, ni l'habitude de porter un sac à dos chargé pour 4 jours, nous ne voulions pas trop nous attarder pour rejoindre ensuite en temps et en heure notre chambre d'hôtel réservée le soir à Sauzon... 

Nos vacances en 2005 : Le tour de Belle-Ile-en-Mer en 4 jours

En août 2005, c'est sans les enfants que nous nous avons entrepris de faire le tour de Belle-Ile-en-Mer en 4 jours à pied, avec juste notre sac sur le dos...

Faire le tour de cette île du Morbihan par son sentier côtier, ça représente presque 85 kms, répartis ainsi en 4 étapes :

                    ♦ 1ère journée   : Le Palais - Sauzon - Les Poulains       23,5 km
                    ♦ 2ème journée : Sauzon - Bangor                                  30,5 km
                    ♦ 3ème journée : Bangor -Locmaria                                23 km
                    ♦ 4ème journée : Locmaria - Le Palais                              17,3 km
  

Nous avons choisi de prendre le bateau au départ de Quiberon, où nous avons laissé notre voiture sur un parking payant et gardé le temps de notre escapade.

Quant au logement sur l'île, une chambre d'hôte ou une chambre d'hôtel nous attendait à la fin de chaque étape...

                       belle ile en mer sommaire

Restez informés !

Pour ne rater aucun nouvel article, inscrivez-vous à la newsletter et recevez gratuitement en cadeau mes 2 albums photos numériques : "La montagne en photos" et "La mer en photos".

Traduction

A propos

 photo presentation

Coucou !

Moi c'est Sylvie...

Je randonne depuis 1990 et ici je vous fais partager mes randonnées, à la montagne mais aussi à la mer ou ailleurs, en été comme en hiver :

- Afrique du Sud
- Alpes
- Andorre
- Bretagne
- Charente-Maritime
- Corse
- Espagne
- Ile de la Réunion
- Massif Central
- Pays-de-la-Loire
- Pyrénéees

 

Suivez-moi sur Facebook

 

Recherche

Avertissement :

Les indications fournies dans mes descriptifs sont brèves et sommaires, et servent principalement à vous faire une petite idée de la randonnée présentée, selon mon ressenti. Elles ne remplacent pas l'indispensable topo-guide, qui vous fournira un descriptif complet et précis de votre randonnée, ainsi qu'une carte IGN pour le détail du parcours. 

Des facteurs météo ou autres sont susceptibles de faire évoluer rapidement la difficulté d'un itinéraire. Chaque randonnée se fait donc sous votre propre responsabilité. Toutes les informations fournies ici ne pourront en aucun cas engager ma responsabilité en cas d'accident ou de quelque manière que ce soit.