BANNIERE2

L'étang de Laurenti

Ce qu'on appelle généralement un lac en montagne s'appelle un étang en Ariège...

Ainsi donc, l'étang de Laurenti (1 936 m) figure parmi les plus beaux étangs ariégeois et révèle toute la magie du Donezan, ce massif surnommé à juste titre "le petit Québec ariégeois"... 

A l'arrivée, après avoir traversé une belle forêt de hêtres et de sapins, on découvre en effet dans un cadre enchanteur et grandiose un étang bordé de pins, lové au pied du Roc Blanc (2 542 m). 

C'est cette randonnée facile que nous avions choisi pour démarrer notre séjour d'été 2009, avec notre fille de 10 ans et notre fils hémiplégique de 14 ans. En ce début août, j'avais espéré que l'épais brouillard qui dissimulait le paysage se dissipe à l'arrivée à l'étang, mais que nenni, impossible de distinguer quoi que ce soit ! 

Nous ne pouvions en rester là, aussi avons-nous fait une deuxième tentative quelques jours plus tard... Cette fois, un soleil radieux nous a permis d'admirer cet étang vraiment magnifique !

Arriver à l'étang de Laurenti, c'est un peu comme entrer dans une carte postale...

Mais autant vous le dire tout de suite, en saison estivale, vous ne serez pas les seuls à avoir envie d'en profiter ! D'autant plus qu'en dehors de quelques petites grimpettes un peu plus raides, cet itinéraire ne présente aucune difficulté... 

Bref, l'étang de Laurenti, c'est un étang idyllique et relativement facilement accessible : une randonnée familiale à ne surtout pas manquer si vous allez en Ariège !

lac-de-laurenti2

Le trou-de-Fer

Lors de mes recherches pour préparer notre voyage à la Réunion, j'ai vite découvert que la randonnée du Trou-de-Fer faisait partie des incontournables de l'île : "Le plus beau spectacle naturel offert par la Réunion (avec le volcan)", selon le Guide du Routard.

J'ai donc cherché à en savoir un peu plus : non loin de Salazie, dans le massif du Piton des Neiges, le Trou-de-Fer est en fait un gouffre vertigineux dans lequel se jette une chute d'eau de 300 mètres de haut, figurant ainsi parmi les chutes les plus hautes du monde ! De quoi impressionner, non ? 

Oui, mais à y regarder de plus près, il s'avère qu'à moins de descendre dans le gouffre en canyoning ou bien de le survoler en hélicoptère pour bénéficier de points de vue spectaculaires, la randonnée mène "seulement" à un belvédère permettant juste de découvrir le haut de la cascade ! J'étais déjà moins emballée et du coup, j'ai bien failli écarter cette randonnée...

... ce qui aurait été une grosse erreur ! Que dis-je ? Une énorme erreur, car cette randonnée figure parmi mes plus beaux souvenirs de la Réunion ! Bien plus pour la fabuleuse marche qui permet d'accéder au gouffre que pour le gouffre en lui-même... Ce trou est certes vertigineux et spectaculaire, mais à mes yeux le spectacle vient du cheminement au coeur de la forêt qui l'entoure : une magnifique forêt de vieux tamarins et de cryptomerias tout d'abord, puis la majestueuse forêt tropicale primaire ensuite. Marcher là au mileu de ces paysages extraordinaires est une expérience sensationnelle magique, envoûtante et inoubliable, à faire absolument pour qui n'a jamais découvert ce genre de paysages ! C'est vraiment grandiose et exeptionnel ! 

Le sentier n'est pas difficile, mais il faut faire attention où l'on met les pieds : il y a des racines, il faut parfois enjamber ou bien se baisser pour passer sous des arches naturelles. Et il y a de la boue : pour l'éviter au maximum le sentier a été aménagé par l'ONF (pontons de bois, caillebotis, rondins...), mais l'itinéraire est à proscrire en cas de pluie, car le sentier devient alors glissant et très boueux, voire carrément impraticable !

L'idéal est de partir tôt pour profiter d'une vue dégagée à l'arrivée au belvédère, car les nuages s'invitent souvent dans le gouffre... Un bon moyen aussi d'éviter la foule, bien présente sur cet itinéraire prisé : cet endroit est en effet le troisième site le plus visité de l'île.

Cette randonnée fantastique et inoubliable remonte pour nous à juillet 2011, accompagnés de notre fille de 12 ans et de notre fils hémiplégique de 16 ans. Il semble qu'un nouveau belvédère a été aménagé fin 2014 : plus grand et surtout surélevé, il offre apparemment une bien meilleure vue sur le canyon. De quoi profiter encore plus de cette randonnée fabuleuse et extraordinaire, à faire absolument

trou-de-fer2

Les étangs de Rabassoles

Situés en Ariège dans les Pyrénées, les trois étangs de Rabassoles sont autant d'émeraudes dans leur écrin de granit : l'étang de Rabassoles (1 851 m), l'étang Bleu (1 920 m) et l'étang Noir (1 970 m).

Lors d'un précédent séjour ariégeois en 2002 avec notre fille de 3 ans et notre fils hémiplégique de 7 ans, nous avions déjà découvert l'étang de Rabassoles et l'étang Bleu. Les magnifiques paysages de cette randonnée nous avaient tellement charmés et conquis que cette fois, les enfants étant alors âgés de 10 et 14 ans en ce début août 2009, nous avons décidé de refaire la randonnée en passant par le col de l'Egue (2 121 m) pour le retour.

Cette très belle boucle, tirée du livre "Randonnées vers les plus beaux lacs des Pyrénées" de Jacques Jolfre, permet de découvrir pas moins de 5 lacs de montagne au totalEn dehors de la descente assez raide après le col de l'Egue, la randonnée n'est pas difficile et offre des paysages variés et de toute beauté. Et pourtant, pour nous ce jour-là, la journée n'était pas particulièrement ensoleilée...

Un superbe circuit donc à ne pas manquer ! Si vous avez de jeunes enfants ou que vous ne souhaitez pas faire la boucle en entier, allez au moins jusqu'à l'Etang Bleu, je vous assure que ça en vaut vraiment la peine et que vous en prendrez plein la vue !

etangs-de-rabassoles5L'étang de Rabassoles (1 850 m), vu du chemin qui mène à l'étang Bleu

Longer la côte de Jade...

Située non loin de Nantes en Loire-Atlantique, la Côte de Jade, ainsi nommée à cause de la couleur de son eau, étire ses nombreuses plages de sable fin, ses criques et ses côtes découpées sur près de quarante-cinq kilomètres. 

Plusieurs stations balnéaires se succèdent le long de cette côte : entre-autres, Saint-Brévin-les-Pins, La Bernerie-en-Retz et bien sûr Pornic, sans doute la plus prisée...

Mais un des charmes indéniables de la Côte de Jade, ce sont ses pêcheries, ces esplanades en bois sur pilotis surmontées de petites cabanes, accessibles par des pontons ou parfois même posées directement sur les rochers. Du printemps à l'automne, on y pratique la pêche au carrelet, un grand filet carré qui se relève à l'aide d'un treuil. Apparemment, pas de pêche miraculeuse pour autant avec ce mode de pêche, qui reste essentiellement une activité de loisirs...

L'idéal pour admirer ces nombreuses pêcheries est de longer la Côte de Jade, ainsi que le propose la randonnée éponyme tirée du magazine "Bretagne magazine thématique - Balades et randonnées en Bretagne / juin - juillet - août 2015".

Ainsi, de la Bernerie-en-Retz à Pornic, on serpente du sentier des douaniers à la grève, sur 10 kilomètres. Autant de kilomètres à faire ensuite pour le retour car, à moins d'avoir deux véhicules à disposition, il faut bien revenir ! Alors même si la randonnée est facile, il ne faut pas en négliger la longueur, surtout avec des enfants...

Cependant, même s'il est vrai que cela prive forcément de certains paysages, il est toujours possible de faire la randonnée partiellement : les pêcheries s'échelonnant tout au long du chemin, c'est la solution pour en profiter un minimum...

D'ailleurs, en ce qui nous concerne, le temps nous a manqué en cette fin juillet 2015 pour boucler les 20 kilomètres de l'itinéraire total. Avec notre fille de  16 ans et notre fils hémiplégique de 20 ans, nous avons parcouru "seulement" 16 kilomètres...

En tout cas, ces jolies cabanes de pêcheurs méritent le coup d'oeil, et c'est une bien jolie destination que je vous recommande vivement !

pêcheries-la-bernerie2

Mare-à-Poule-d'Eau

Sur la route de Hell-Bourg, la Mare-à-Poule-d'Eau est une bien jolie halte au coeur du cirque de Salazie, le cirque le plus vert de l'île de la Réunion

Plus étang que mare, ce plan d'eau qui était plus grand encore avant un éboulement lors du passage du cyclone Hyacinte en 1980, fait même partie des plus belles étendues d'eau de l'île. 

L'endroit est vraiment de toute beauté : dépaysant, ombragé, paisible et accueillant, c'est un vrai petit coin de paradis

C'est sans doute ce qui explique sa présence dans le livre "76 randonnées : cascades et bassins - La Réunion" de Stéphane et Roland BENARD, dans lequel je ne m'attendais pas à trouver une balade aussi courte ! Rien à voir en effet avec une randonnée, puique 10 minutes de marche très facile suffisent à rejoindre ce lieu véritablement enchanteurC'est bien d'ailleurs ainsi que l'endroit est décrit dans tous les récits anciens :"Un site enchanteur rempli d'oiseaux de toutes couleurs".  

mare-a-poule-deau9

L'Ilet Fleurs Jaunes

A l'île de la Réunion, les ilets (prononcer "illettes") désignent des petits hameaux ou villages isolés, composés de quelques maisons seulement, appellées des cases. On les trouve souvent dans les cirques, sur des plateaux cultivables. 

Situé au centre de l'île, le cirque de Salazie, l'un des trois cirques naturels de la Réunion, abrite l'îlet Fleurs jaunesAccessible uniquement à pied, des habitants vivent pourtant ici à l'année. 

Par un agréable sentier bien entretenu, l'îlet Fleurs Jaunes fait l'objet d'une petite randonnée vraiment facile et à la portée de toute la famille.

C'est l'occasion de découvrir un endroit reculé du cirque de Salazie, non loin cependant du village du même nom. Attention toutefois, sachez que vous ne pourrez pas vous promener au milieu des cases de l'îlet Fleurs Jaunes : un panneau "Propriété privée - Défense d'entrer" préserve la tranquillité des habitants.

Au milieu d'une végétation exubérante, cette balade vraiment sympa est idéale avec des enfants en bas âge ou pour une journée repos. Ou bien encore pour une première approche du cirque de Salazie, comme pour nous en ce jour de juillet 2011, accompagnés de notre fille de 12 ans et de notre fils hémiplégique de 16 ans.

ilet-fleurs-jaunes1

En passant par les moulins...

L'île de Noirmoutier, en Vendée, est surnommée "l'île aux mimosas" en raison de la douceur de son climat. Mais autrefois son surnom était "l'île aux 100 moulins"... Non pas parce qu'il y en avait 100 précisément, mais parce qu'il y en avait vraiment beaucoup ! Aujourd'hui, il en reste 23, dont certains que l'on peut admirer lors de la très belle randonnée "En passant par les moulins" proposée dans le guide "Les balades insulaires" de la Maison du Tourisme de l'Ile de Noirmoutier, disponible gratuitement auprès de l'office du tourisme ou téléchargeable ici

L'ancienne brochure comportant 6 circuits pédestres balisés offrait deux possibilités pour cette randonnée : un circuit court de 5 km, et un circuit long de 8 km. Dans le nouveau guide cité plus haut, ces deux circuits ont hélas disparu au profit d'un unique circuit de 15 km (3h30).

Ce nouveau circuit de 15 km reprend l'ancien de 8 km, avec une partie plus longue dans les marais salants. Ayant déjà fait précédemment la randonnée "Chemin de mer et de marais", nous avons préféré délaisser cette nouvelle portion et suivre l'itinéraire de l'ancien circuit. Si vous ne possédez pas l'ancien guide, mieux vaut suivre le balisage jaune du nouveau circuit jusqu'au bout afin de ne pas vous perdre !

Hormis un passage moins séduisant aux alentours d'une grande surface, j'ai trouvé cette randonnée vraiment sympa. C'est vrai, nous ne l'avons pas faite en entier mais, si la longueur de la randonnée ne vous rebute pas, je vous la recommande toutefois vivement ! Tout comme moi, vous apprécierez certainement la variété des paysages que l'on traverse : les dunes, les marais salants, les bois... Et bien sûr les moulins, qu'il ne faut d'ailleurs pas s'attendre à trouver dès le début, ou disséminés tout au long du parcours, car on les découvre seulement dans la dernière partie de l'itinéraire.

"En passant par les moulins", c'était pour nous début juillet 2015, accompagnés de notre fille de 15 ans et de notre fils hémiplégique de 19 ans.

autour-des-moulins-noirmoutier10

La cascade Biberon

De la route, on aperçoit déjà au loin la cascade Biberon située à la Plaine-des-Palmistes à environ 1000 mètres d'altitude, à l'est de l'île de la RéunionMais c'est de près qu'il convient d'aller admirer cette jolie chute d'eau, haute de presque 250 mètres, qui se jette dans un bassin propice à la baignade... pour qui ne craint pas l'eau fraîche !

Un sentier "marmailles" permet d'y accéder, c'est-à-dire un sentier facile et accessible à toute la famille. Facile, oui, mais qui peut toutefois s'avérer très boueux et glissant après la pluie, qui nécessite de traverser un cours d'eau à gué sur des pierres pouvant être glissantes, et d'escalader les rochers aux abords du bassin pour accéder au pied de la cascade...

D'avril à août, les nombreux goyaviers qui bordent le chemin font la joie des gourmands... Nous n'avons pas osé nous servir, à tort ! Attention toutefois à ne pas confondre avec les boules rouges plus petites des "Grain de Noël", ces petits arbustes qui poussent également le long du sentier.

Cette sympathique balade fraîcheur, issue du livre "76 randonnées : cascades et Bassins - La Réunion" de Stéphane et Roland BENARD, est idéale en complément d'une autre randonnée pour finir la journée en beauté, à moins que nous ne préfériez y passer une journée détente avec au programme pique-nique et baignade...

En ce qui nous concerne, en ce jour de juillet 2011, accompagnés de notre fille de 12 ans et de notre fils hémiplégique de 16 ans, nous l'avons choisie pour enchaîner après la très belle randonnée du Piton de l'Eau.

Malheureusement, il va falloir patienter avant de pouvoir profiter de ce joli site sauvage car, suite à un éboulis qui a coûté la vie à deux personnes en juin 2014, le sentier est à ce jour fermé jusqu'à nouvel ordre. 

 

cascade-biberon1

Le Piton de l'Eau

Il y a fort à parier qu'à l'île de la Réunion, ce département d'outre-mer français situé dans l'océan Indien, bon nombre de marcheurs rêvent de faire une randonnée sur le site du Piton de la Fournaise, le célèbre volcan de l'île, mais il est probable que beaucoup moins s'intéressent au Piton de l'Eau... 

A 1881 mètres d'altitude, au coeur du massif du volcan, le Piton de l'Eau est l'unique lac volcanique de l'île, situé sur la commune de la Plaine-des-Palmistes. Et vraiment, il mérite le détour !

piton-de-l-eau19

piton-de-l-eau1

 

Le rocher du vent

"Est-ce à cause du vent qui s'engouffre en hurlant à l'intérieur du canyon que forme la cime que l'on a baptisé ce sommet le Rocher du Vent ? Car la partie sommitale présente la singularité d'être coupée en deux par une gorge étroite et rocheuse, un véritable canyon". Ainsi commence la description de cette randonnée tirée du livre "30 balades en famille dans le Beaufortain" de Jean-Marie Jeudy. 

La randonnée démarre près du refuge du Plan de la Lai, à 1 818 mètres d'altitude, dans le massif du Beaufortain en Savoie. Situé en bordure de route à l'entrée du Plan de la Lai, dans les pâturages, ce refuge domine de 250 mètres le lac et le barrage de Roselend.

Dès le départ le cadre est sympathique, et la montée se fait tranquillement dans les alpages, sous le regard de quelques marmottes. Mais c'est à l'arrivée au Rocher du Vent (2 329 m) que la surprise est de taille, avec une vue plongeante et vertigineuse sur le lac de la Gittaz et le lac de Roselend. Un panorama à couper le souffle, vraiment époustouflant ! Attention toutefois avec les enfants, car le vide est là, tout près !

Avant de pénétrer dans le canyon, c'est en montant sur une petite crête herbeuse que l'on découvre cette vue imprenable une première fois. On la découvre ensuite sous un nouvel angle d'une sorte de petit belvédère à l'extrémité du canyon. Si vous n'êtes pas trop frileux, c'est d'ailleurs un emplacement de choix pour la pause pique-nique. Eh oui, même en plein été de la neige persiste souvent dans le canyon, et la température s'en ressent...

En plus de vêtements chauds, je vous conseille également de prévoir une lampe de poche (ou frontale) pour cette randonnée. Non, ce n'est pas pour le canyon, mais pour un tunnel ! Car en descendant, il est possible de faire un petit détour pour aller voir un tunnel creusé en 1936 par des réfugiés espagnols pour le projet de la route de la "Grande Traversée des Alpes" par les grands cols. Cette route devait passer par le Cormet de Roselend mais le projet a été abandonné, et aujourd'hui il en reste ce tunnel creusé là-haut, permettant de rejoindre le flanc sud de la montagne. En plus de faire attention où vous mettez les pieds, attention également à votre tête : le plafond du tunnel est bas par endroits !

Malgré une météo pas vraiment estivale en cette journée d'août 2013, où nous étions accompagnés de notre fille de 14 ans, je garde un très bon souvenir de cette sympathique randonnée, et surtout de son panorama grandiose. Sous le ciel bleu ce doit être vraiment fantastique ! 

 LE-ROCHER-DU-VENT5

Restez informés !

Pour ne rater aucun nouvel article, inscrivez-vous à la newsletter et recevez gratuitement en cadeau mes 2 albums photos numériques : "La montagne en photos" et "La mer en photos".

Traduction

A propos

 photo presentation

Coucou !

Moi c'est Sylvie...

Je randonne depuis 1990 et ici je vous fais partager mes randonnées, à la montagne mais aussi à la mer ou ailleurs, en été comme en hiver :

- Afrique du Sud
- Alpes
- Andorre
- Bretagne
- Charente-Maritime
- Corse
- Espagne
- Ile de la Réunion
- Massif Central
- Pays-de-la-Loire
- Pyrénéees

 

Suivez-moi sur Facebook

 

Recherche

Avertissement :

Les indications fournies dans mes descriptifs sont brèves et sommaires, et servent principalement à vous faire une petite idée de la randonnée présentée, selon mon ressenti. Elles ne remplacent pas l'indispensable topo-guide, qui vous fournira un descriptif complet et précis de votre randonnée, ainsi qu'une carte IGN pour le détail du parcours. 

Des facteurs météo ou autres sont susceptibles de faire évoluer rapidement la difficulté d'un itinéraire. Chaque randonnée se fait donc sous votre propre responsabilité. Toutes les informations fournies ici ne pourront en aucun cas engager ma responsabilité en cas d'accident ou de quelque manière que ce soit.