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Catégorie : MASSIF CENTRAL
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Publication : vendredi 8 mars 2019 09:35
Fontaine Salée, c'est le joli nom d'une des trois vallées glaciaires du massif du Sancy, dans le Puy-de-Dôme en Auvergne, et c'est aussi le titre de la magnifique boucle qui en fait le tour.
A chaque fois que je la surplombais du haut du Puy de Sancy, elle me faisait de l'oeil cette vallée... Sur le topo-guide Chamina "Massif du Sancy-Les incontournables-Balades à pied", j'avais repéré une randonnée qui la traversait. Mais lorsqu'ils étaient jeunes, pas question d'imposer un circuit montagnard de 16 kilomètres aux enfants...
Nous avons donc patienté jusqu'à cette fin août 2016 où, accompagnés de notre fille de 17 ans, nous avons enfin pu mettre cette randonnée à notre programme !
Bien différente de sa voisine la vallée de Chaudefour, en forme d'auge, la large vallée herbeuse de la Fontaine Salée, dominée par la silhouette du Puy de Sancy, offre des paysages tout autant grandioses.
Les points de vue sur la face sud du Sancy, ainsi que les panoramas sur l'Artense et le Cézalier, sont tout particulièrement fabuleux !
Ce circuit, que vous pouvez retrouver ici sur le site de l'office de tourisme Planète Puy-de-Dôme, plaira à coup sûr à tous les amoureux des grands espaces.
A mettre donc également à votre programme si vous le pouvez !
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Catégorie : MASSIF CENTRAL
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Publication : vendredi 8 février 2019 19:41
Classée Réserve Naturelle, la Vallée de Chaudefour compte parmi les trois vallées glaciaires du massif du Sancy, en Auvergne.
Avec ses curiosités géologiques (les dykes de la Dent de la Rancune et de la Crête du Coq), sa flore alpine et sa faune remarquable (marmottes, mouflons et chamois...), c'est un site très prisé des amoureux de la nature, et par conséquent très fréquenté en été, d'autant plus qu'il est facilement accessible.
Au départ de la maison de la réserve, plusieurs sentiers pédestres sillonnent cet espace préservé aux somptueux paysages, avec notamment la découverte de la cascade de la Biche et la source ferrugineuse Sainte-Anne.
Mais il y a aussi un autre sentier qui part de Chambon-des-Neiges, et qui permet d'accéder à la vallée et d'en faire le tour ensuite par les crêtes.
Tirée du topo-guide Chamina "Massif du Sancy et Artense", cette randonnée (que l'on retrouve également dans la brochure "Randos Nature -Guide n°5" proposée en téléchargement ici sur le site "Planète Puy-de-Dôme") est certes exigeante et éprouvante avec ses 15,5 kilomètres et son important dénivelé de 935 mètres.
Mais quelle randonnée fabuleuse !
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Catégorie : MASSIF CENTRAL
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Publication : vendredi 25 janvier 2019 15:16
Au coeur du massif central, le parc naturel régional des volcans d'Auvergne chevauche les départements du Puy-de-Dôme et du Cantal.
Quatre massifs volcaniques comptent parmi les cinq régions naturelles qui composent ce parc : les Monts du Cantal, le Cézallier, les Monts Dôme et les Monts Dore.
La cinquième région est un plateau granitique : l'Artense. Ici pas de hauts sommets mais une alternance de douces collines, prairies et tourbières, sans oublier des forêts et des lacs, ce qui lui vaut d'être qualifiée parfois de petite scandinavie auvergnate...
Si on ajoute à cela la jolie photo du lac de la Crégut illustrant la randonnée éponyme dans le guide Chamina "Massif du Sancy et Artense", c'est d'ailleurs ce qui m'a donné envie de découvrir ce petit coin méconnu du massif central...
Ainsi donc, accompagnés de notre fille de 17 ans, nous avons profité d'un séjour à Chambon-sur-Lac en août 2016 pour mettre cette randonnée à notre programme.
Bien nous en a pris car cette boucle de 14,5 kilomètres, sans difficulté en dehors de sa longueur, est absolument magnifique !
En plus de l'ancien lac glaciaire de la Crégut, on découvre les lacs du Taurons et du Tact. Certes ce sont tous des lacs de barrage, mais le charme n'est pas rompu pour autant...
J'ai vraiment beaucoup aimé cet itinéraire entre décors lacustres et forestiers, qui se parcourre en toute tranquillité même au coeur de l'été, car ici les randonneurs se font plus rares que du côté du Puy de Sancy ou du Puy Mary...
Vous pouvez retrouver ce circuit dans le guide n°2 "Randos à croquer" édité par le conseil départemental du Puy-de-Dôme, disponible gratuitement sur demande via la rubrique "contact" du site de l'office de tourisme du Puy de Dôme, ou dans les offices de tourisme du département, ou bien à télécharger ici.
Une très belle randonnée qui mérite assurément le détour !
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Catégorie : MASSIF CENTRAL
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Publication : vendredi 11 janvier 2019 09:39
En patois auvergnat, "banne" signifie"corne". Avec sa forme caractéristique, c'est de là que le sommet volcanique de la Banne d'Ordanche, culminant à 1 515 mètres d'altitude dans les Monts Dore, tire son nom.
Là-haut, après avoir gravi un escalier en bois qui facilite l'ascension, une table d'orientation détaille le panorama à 360° qui s'offre sur les massifs volcaniques du Parc Naturel Régional des Volcans d'Auvergne.
La vue est certainement magnifique... quand il fait beau ! Ce qui n'était malheureusement pas le cas ce jour de début août 2016 où, accompagnés de notre fille de 17 ans, un épais brouillard nous a enveloppés au moment où nous approchions de la Banne d'Ordanche. Nous avons tout de même grimpé jusqu'au sommet, dans l'espoir que les nuages se dissipent. En vain... Nous n'avons absolument rien vu !
Tirée du guide n°1 "Randonnez-vous / À la découverte du Puy-de-Dôme" édité par le Conseil départemental du Puy-de-Dôme, et en téléchargement ici, nous n'avons pas vraiment pu apprécier cette randonnée à sa juste valeur, l'objectif principal nous ayant échappé juste avant de l'atteindre...
Sachez qu'il est possible de rejoindre la Banne d'Ordanche par un autre itinéraire, au départ du lac de Guéry. En hiver, une randonnée en raquettes à neige emprunte une partie de ce circuit, ainsi que nous l'avons fait en février 2011, sans toutefois gravir le sommet (Article à lire ou à relire ici).
Pour ce qui est de notre boucle estivale, je n'ai que très peu de photos à vous proposer.
Restant sur ma faim, j'espère avoir l'occasion de la refaire un jour...
Ci-dessus : vue sur la Banne d'Ordanche...
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Catégorie : MASSIF CENTRAL
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Publication : vendredi 23 novembre 2018 10:21
Culminant à 1 885 mètres d'altitude dans le Puy-de-Dôme, le Puy de Sancy est le point culminant du Massif Central.
Là-haut, un panorama exceptionnel s'ouvre à 360° sur des vallées glaciaires (la vallée de Chaudefour, la vallée de la Fontaine Salée...), des Puys (le puy Gros, le puy Ferrand...), des lacs (le lac Pavin, le lac Chauvet, le lac Chambon...), des plateaux (plateau du Cézallier, plateau de l'Artense...), et même sur les neiges éternelles du Mont-Blanc, visible par temps clair.
Pour profiter de cette vue imprenanble, un téléphérique permet d'accéder au sommet sans se fatiguer. Ou presque... Car à la descente du téléphérique, 860 marches en bois restent à gravir, soit une vingtaine de minutes de marche et un dénivelé de 110 mètres...
Le Puy de Sancy fait aussi l'objet de plusieurs randonnées. Tirée du guide Chamina "Massif du Sancy et Artense", l'une d'elles part du pied du téléphérique.
Si l'ascension ne présente pas vraiment d'intérêt et peut-être épargnée grâce au téléphérique, la suite du parcours est en revanche de toute beauté, avec un retour par les crêtes et le magnifique val de Courre.
Début août 2016, avec notre fille de 17 ans, nous avons choisi de faire la randonnée intégralement à pied.
Tout au long de la montée assez rude vers le sommet, une flore abondante nous a permis d'oublier un peu le paysage de pistes et de téléskis...
Arrivés au col de la Cabanne, la vue devient fabuleuse, à l'image du reste de la boucle. Ouvrez l'oeil, il y a des lys martagon au bord du sentier le long des crêtes... Et des marmottes dans le val de Courre !
Le Puy de Sancy fait bien sûr partie des incontournables de la région, et est à ce titre pris d'assaut en été, à tel point qu'il est même parfois difficile d'accéder à la table d'orientation ! Pour ce qui est de l'escalier en bois menant au sommet, qu'il faut emprunter pour ceux qui viennent du téléphérique tout comme pour les randonneurs, il se transforme en véritable autoroute...
Malgré tout, ça reste une randonnée à faire absolument pour le cadre grandiose à partir du col de la Cabanne.
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Catégorie : MASSIF CENTRAL
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Publication : vendredi 9 novembre 2018 17:25
Tirée du guide Chamina "Massif du Sancy et Artense", cette randonnée, que l'on retrouve également ici sur le site de l'office de tourisme de l'Auvergne, fait incontestablement partie des incontournables du massif du Sancy.
Au fil d'un parcours exceptionnel, mais long et sportif, les trois principales cascades du Mont-Dore se dévoilent : la cascade du Queureuilh, la cascade du Rossignolet et la Grande Cascade, avec ses 30 mètres de chute d'eau. Hors circuit, on peut même en découvrir une quatrième : la cascade du Saut du Loup.
La première partie du circuit mène à la Grande Cascade. Les autres cascades ferment la boucle. Entre les deux, on chemine principalement sur un sentier de crêtes passant par le puy de l'Angle (1 738 m), le puy Barbier (1 702 m), le puy de Monne (1 692 m) et le puy de la Tâche (1 629 m), qui offrent à chaque fois d'admirables panoramas sur le Sancy, la chaîne des Puys et les monts du Cantal, ainsi que sur le lac du Guéry.
Si l'affluence est forte sur les sites des cascades, très prisées en été et accessibles individuellement en dehors de cette randonnée, le reste du parcours est en revanche plus tranquille.
Je rêvais depuis longtemps de faire cette boucle, inenvisageable lorsque les enfants étaient petits. Le rêve est devenu réalité début août 2016, avec notre fille de 17 ans.
Entre le charme des cascades et la splendeur des paysages et des panoramas, je n'ai pas été déçue !
Voilà donc une randonnée absolument fabuleuse que je conseille vivement à tous ceux qui le peuvent !
Ci-dessus : la Grande Cascade...
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Catégorie : MASSIF CENTRAL
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Publication : vendredi 26 octobre 2018 10:20
Les sources de la Jordanne, qui murmurent au fond du cirque de Mandailles, font l'objet d'une bien jolie randonnée dans les estives, au milieu des vaches Salers...
Tirée du topo-guide "Volcan Cantalien" aux éditions Chamina, cette boucle facile de 5 kilomètres, de faible dénivelé, vient parfaitement compléter une journée après la découverte des gorges de la Jordanne, comme pour nous en ce début août 2016 avec notre fille de 17 ans.
Après avoir évolué dans ces gorges sauvages, aux petits airs d'ailleurs, on retrouve là les paysages typiques du Cantal.
Des burons, plus ou moins en ruines pour certains, témoignent d'une activité pastorale autrefois importante.
On ne fabrique plus de fromage ici aujourd'hui mais les vastes pâturages, dominés notamment par la silhouette particulière du Puy Griou, accueillent toujours des troupeaux. Avec leurs cornes en lyre, leurs yeux qui semblent maquillés et leur robe acajou, on tombe facilement sous le charme des Salers, que l'on redoute toutefois lorsqu'elles se trouvent tout près du sentier, voire même sur le sentier !
Quand aux sources de la Jordanne, ne vous attendez pas à les trouver à un endroit précis : la Jordanne naît simplement d'un ensemble de tous petits ruisseaux dévalant les pentes de la montagne...
Bref, c'est une randonnée que j'ai vraiment adorée et que je recommande vivement aux familles, aux débutants, ou bien pour une journée repos entre 2 grandes randonnées.
A faire !
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Catégorie : MASSIF CENTRAL
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Publication : vendredi 12 octobre 2018 10:41
Dans le Cantal, près d'Aurillac et du Puy Mary, les gorges de la Jordanne s'étirent sur plus de 3 kilomètres entre Saint-Julien-de-Jordanne et Saint-Cirgues-de-Jordanne. C'est ici que débute un parcours aménagé de 2 kilomètres (soit 4 kilomètres aller-retour), qui nous entraîne à la découverte d'une partie de ces gorges pouvant atteindre jusqu'à 60 mètres de profondeur.
Le sentier, varié, nous fait longer ou surplomber la rivière, passer d'une rive à l'autre sur des passerelles et des ponts de bois, grimper sur la corniche aménagée, évoluer au milieu des rochers...
Chemin faisant, des bornes pédagogiques invitent à se pencher sur les secrets de la faune et de la flore de ce milieu privilégié.
Voilà donc une balade rafraîchissante qui a de quoi plaire au plus grand nombre, aux familles avec des enfants comme aux amoureux de nature en quête de sites d'exception.
Cependant, même s'il est aménagé et qu'il s'agit plus d'une balade que d'une randonnée, ne sous-estimez pas le parcours, qui n'en demeure pas moins un minimum sportif pour autant : escaliers, cailloux, racines et rochers jalonnent le sentier...
Très prisé, et ouvert seulement de début juin à fin septembre, le site des gorges de la Jordanne est très fréquenté, d'autant plus qu'il offre ombre et fraîcheur, bienvenus au coeur de l'été...
Afin d'échapper un maximum à la foule, nous avons choisi d'y aller dès l'ouverture en ce jour d'août 2016 où nous étions avec notre fille de 17 ans. Bien nous en a pris car nous avons eu le privilège de cheminer seuls au fond des gorges pendant un long moment, ce qui a contribué à rajouter à la magie de ce lieu de toute beauté qui nous a enchantés.
Les gorges de la Jordanne offrent un paysage bien différent de ceux que le randonneur découvre habituellement au coeur des montagnes cantaliennes.
Dépaysant, c'est un véritable écrin de verdure que je vous invite également à découvrir !
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Catégorie : MASSIF CENTRAL
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Publication : vendredi 7 septembre 2018 11:02
Dans le topo-guide "Volcan Cantalien" aux éditions Chamina, j'avais repéré une randonnée intitulée "Lesmaronies", une boucle de 8 kilomètres dans les environs du Puy Violent, un des monts du Cantal culminant à 1 592 mètres d'altitude dans la région de Salers.
Mais cette randonnée n'a pas tenu toutes ses promesses... Il semble en effet qu'elle n'existe plus telle que présentée dans notre topo-guide, pourtant toujours en vente à Salers en ce mois d'août 2016 où nous étions avec notre fille de 17 ans.
Dès le départ, le balisage nous a semblé différent de nos indications, comme si la randonnée avait été modifiée... Nous avons réussi à aller jusqu'au niveau du puy Violent, au-dessus du buron de Violental, mais ensuite nous n'avons pas réussi à trouver le balisage pour poursuivre au-delà. Plutôt que de prendre le risque de nous égarer, nous avons donc préféré faire demi-tour.
Rebrousser chemin et voir une boucle se transformer en un simple aller/retour est forcément une déception, et j'aurais pu passer cette randonnée inachevée sous silence.
Mais le parcours que nous avons effectué en vaut magré tout largement la peine, pour la découverte des grands espaces autour du Puy Violent d'une part, et pour le très joli site du buron de Violental d'autre part.
Ainsi que nous l'apprend un panneau d'information sur place, le buron de Violental a été bâti il y a deux siècles, et restauré à l'identique en 2005. On peut y entrer librement pour découvrir l'intérieur de cet habitat (non meublé) qui a autrefois servi à la fabrication du fromage de Cantal.
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Catégorie : MASSIF CENTRAL
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Publication : vendredi 1 juin 2018 10:42
Culminant à 1 806 mètres d'altitude, le Puy de Peyre-Arse compte parmi les plus hauts sommets cantaliens.
Tout près de là, à 1 787 mètres, un sommet moins élevé mais ô combien emblématique des Monts du Cantal : le Puy Mary.
Entre les deux une ligne de crête qu'on appelle les "Les Fours de Peyre Arse". Reliant les deux sommets, elle est entaillée par une brèche. C'est la brèche de Rolland, du même nom que la célèbre brèche des Pyrénées...
A chacun de nos séjours dans la région, elle me faisait de l'oeil cette fameuse brèche de Rolland...
Enfin disons que ce qui m'attirait par dessus tout, c'était plutôt la perspective de randonner sur les crêtes, généralement prometteuses de fabuleux panoramas...
Mais le sentier des crêtes se mérite au prix du passage de la brèche, un passage délicat non sécurisé qui nécessite l'aide des mains. La difficulté étant trop importante, impossible de l'envisager avec notre fils hémiplégique.
Début août 2016, Jérémie étant absent, nous avons pu mettre ce circuit au programme d'un séjour dans le Massif Central, accompagnés de notre fille de 17 ans.
Je dois avouer que j'étais autant enthousiaste qu'inquiète à l'idée de faire cette randonnée tant attendue. Enthousiaste parce que c'est une randonnée mythique. Inquiète à cause de la brèche de Rolland : et si la difficulté était trop importante pour moi ? Et si je n'arrivais pas à franchir le passage ?
Ce n'est que sur place, en découvrant un panneau d'avertissement juste avant la brèche, que j'ai appris qu'une variante permettait de la contourner. Une information non négligeable à savoir si vous voulez faire la randonnée sans passer par la brèche...